Lors des États généraux, de l’encadrement et de la surveillance de la filière aquatique, il s’est dégagé un consensus unanime pour dire que les tâches de surveillance étaient pénibles et surtout que celle-ci ne pouvait s’exercer de façon continue.
En fait, la surveillance permanente est impossible.
Faure intelligemment le ministère des sports à décider d’ouvrir la surveillance a un brevet qui ne donne que comme seule perspective de surveiller.
Donc en fait, de contenu des gens à une mission impossible.
Aucun avenir de formation vers le métier de Maître-Nageur Sauveteur n’est proposé aux futurs surveillants permanents.
On nous indique que grâce à cette organisation, les Maîtres-Nageurs Sauveteurs pourront se consacrer aux missions d’enseignement.
Vivement les 35 heures d’aquagym pour les Maîtres-Nageurs Sauveteurs !
Par contre, quelle belle rentabilité en en perspective pour les exploitants des établissements de baignade.
Il est indispensable que les BNSSA se voient proposer une formation gratuite pour devenir Maître-Nageur Sauveteur
Il faut aider ces jeunes collègues à acquérir toutes les compétences pour éviter les écueils des 35 heures de surveillance sans autre avenir.
Retrouver le tract de l’intersyndical :